Bonjour pouvez-vous maider? 1) Le poème Les Séparés, est-il en vers ou en prose ? Justifiez votre réponse grâce à une citation du texte. 2) Quel type de strophe
Question
1) Le poème "Les Séparés", est-il en vers ou en prose ? Justifiez votre réponse grâce à une citation du texte.
2) Quel type de strophes retrouve-t-on dans ce poème ?
3) Retrouvez une allitération (dites en quel son est l'allitération et recopiez les mots qui comportent ce son) :
4) Retrouvez dans ce poème deux rimes riches :
5) Citez un vers de ce poème dont le rythme est binaire, et un vers dont le rythme est ternaire :
merci
1 Réponse
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1. Réponse niogret2m
Réponse :
1. Le poème est en vers regroupés en strophes.
Les vers sont rimés : éteindre/atteindre
2. les strophes sont des quatrains avec un refrain leitmotiv : "N'écris pas"
3. Allitération en T:
N’écris pas. Je suis triste, et je voudrais m’éteindre.
Les beaux étés sans toi, c’est la nuit sans flambeau.
J’ai refermé mes bras qui ne peuvent t’atteindre,
Et frapper à mon cœur, c’est frapper au tombeau.
4. Rimes riches : eindre, mêmes/m'aime
5. Rythme binaire :
"Les beaux étés sans toi, c’est la nuit sans flambeau."
Rythme ternaire :
"N’écris pas. Je te crains ; j’ai peur de ma mémoire ;"
Explications :
N’écris pas. Je suis triste, et je voudrais m’éteindre.
Les beaux étés sans toi, c’est la nuit sans flambeau.
J’ai refermé mes bras qui ne peuvent t’atteindre,
Et frapper à mon cœur, c’est frapper au tombeau.
N’écris pas !
N’écris pas. N’apprenons qu’à mourir à nous-mêmes,
Ne demande qu’à Dieu... qu’à toi, si je t’aimais !
Au fond de ton absence écouter que tu m’aimes,
C’est entendre le ciel sans y monter jamais.
N’écris pas !
N’écris pas. Je te crains ; j’ai peur de ma mémoire ;
Elle a gardé ta voix qui m’appelle souvent.
Ne montre pas l’eau vive à qui ne peut la boire.
Une chère écriture est un portrait vivant.
N’écris pas !
N’écris pas ces deux mots que je n’ose plus lire :
Il semble que ta voix les répand sur mon cœur ;
Que je les vois brûler à travers ton sourire ;
Il semble qu’un baiser les empreint sur mon cœur.
N’écris pas !