s'il vous plaît vous pouvez m'aider Dictée : Récrivez en respectant l’orthographe et la grammaire. Nous sommes devenus/devenu/devenues des animaux dangereux/dan
Question
Dictée : Récrivez en respectant l’orthographe et la grammaire.
Nous sommes devenus/devenu/devenues des animaux dangereux/dangeureux,
nous ne combattont/combattons pas, nous nous défendons contre la destruction.
Ce n’et/n’est/n’ai pas contre des humain/humains que nous
lancons/lençons/lançons nos grenades, car à ce/se moment-là, nous ne sentons
qu’une chose : c’est/s’est que la mort est là qui nous traquent/traque/traques,
sous ces/ses mains et ses/ces casques. C’est la première foie/fois/foi depuis
trois jours que nous pouvons nous défendre/défendres contre elle. La fureur qui
nous anime/animent est insensée/insensées/insensé ; nous ne sommes plus
couchait/couchés/coucher, impuissants/impuissant sur l’échafaud/échafaut, mais
nous pouvons détruire et tuer/tué/tués, pour nous sauver… pour nous sauver et
nous venger/vengez/vengés.
Erich Maria Remarque, A l’ouest rien de nouveau, 1929
2 Réponse
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1. Réponse Vins
Réponse :
bonsoir
Nous sommes devenus des animaux dangereux ,nous ne combattons pas, nous nous défendons contre la destruction.
Ce n’est pas contre des humains que nous lançons nos grenades, car à ce moment-là, nous ne sentons qu’une chose : c’est que la mort est là qui nous traque sous ces mains et ces casques. C’est la première fois depuis trois jours que nous pouvons nous défendre contre elle. La fureur qui
nous anime est insensée ; nous ne sommes plus couchés , impuissants sur l’échafaud mais nous pouvons détruire et tuer pour nous sauver et nous venger.
Erich Maria Remarque, A l’ouest rien de nouveau, 1929
Explications :
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2. Réponse mireillebernard
Réponse :
Bonjour, j'espère que c'est bien ça :
Nous sommes devenus des animaux dangereux, nous ne combattons pas, nous nous défendons contre la destruction.
Ce n’est pas contre des humains que nous lançons nos grenades, car à ce moment-là, nous ne sentons qu’une chose : c’est que la mort est là qui nous traque, sous ces mains et ces casques. C’est la première fois depuis trois jours que nous pouvons nous défendre contre elle. La fureur qui nous anime est insensée ; nous ne sommes plus couchés, impuissants sur l’échafaud, mais nous pouvons détruire et tuer, pour nous sauver… pour nous sauver et nous venger.