Le dormeur du val l etude de le écriture poétique 1)démontrer que ce poème est un sonnet en précisant le nombre de vers le maître employer le nombre de strophes
Question
1)démontrer que ce poème est un sonnet en précisant le nombre de vers le maître employer le nombre de strophes est le nom de strophe de la disposition des rimes.
2) relève d'une par le champ lexical de la nature et d'autre part le champ lexical de la lumière
3)quelle atmosphère essaie de gérer par l'emploi de ses champs lexicaux
4)quelle couleur sont évoqués dans ses poèmes
5 a) quel est le mot répété dans le premier et le dernier vers
5b) les couleurs associées à cest mots sont-elles les mêmes
5c) quel effet visuel c'est de couleur associées créés elle
6a) relève et non toutes les ruptures rythmiques employés dans le poème
6b) quel est l'effet recherché par l'emploi de ces ruptures
pourriez-vous m aide svp
1 Réponse
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1. Réponse niogret2m
Réponse :
1. Le poème est un sonnet composé de 2 quatrains et 2 tercets. le mètre est régulier. Les vers ont 12 syllabes. ce sont des alexandrins
2. Le champ lexical de la nature : verdure, rivière, herbes, montagne, val, cresson, glaïeuls, nature
le champ lexical de la lumière : argent, soleil, rayons
3. ces champs lexicaux insistent sur la beauté et la paix
4. Les couleurs : argent, vert, bleu, rouge
5. Le mot trou est répété
le trou de verdure est associé au vert
Les trous au côté sont rouges et associés au sang, à la mort
6. rejets : d'argent (vers 3), luit (vers 4), dort (vers 7), tranquille ( vers 14)
enjambement (vers 9 et 10)
Rejet : il permet de mettre un mot en évidence
L'enjambement donne une impression de durée, de lenteur
Explications :
C’est un trou de verdure où chante une rivière,
Accrochant follement aux herbes des haillons
D’argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c’est un petit val qui mousse de rayons.
Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l’herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.
Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.